Just Wôan, Djmawi Africa, AfrotroniX et Cécile Doo-Kingué font partie des quelque 300 concerts gratuits qui seront présentés du 28 juin au 8 juillet de cette année dans le cadre de la 38e édition du Festival International de Jazz de Montréal.
Les noms ci-dessus cités font partie, pour certains, de la série Grooves du monde Hyundai qui «décollera à 20 h pour son voyage autour du monde» ainsi que la série Electropical Hyundai, à 22 h, sur la scène situé à l’esplanade Clark Nord, angle Clark et De Montigny.
Tout commence le 29 juin à 20 h avec le Camerounais Just Wôan qui arrive avec son album Second chance, lancé récemment. Après lui, Caleb Rimtobave et son AfrotroniX diffuseront leur afro-électro d’ici.
Dès le lendemain, c’est le retour à Montréal du collectif algérien Djmawi Africa, en entrée et de Face-T, pour clore, avec leur «mélange percutant de reggae-dancehall et de rythmes électros».
Les citoyens du monde de Nomad’Stones célèbreront la fête du Canada, le 1er juillet, tout comme l’artiste haïtien Fwonte, de retour le lendemain.
Le Maghreb sera aussi célébré, le 3 juillet, avec le groupe Gabacho Maroc composé de sept musiciens français, marocains et algériens qui fusionnent gnaoua, afro, berbe?re, transe, jazz et électro.
Le Camerounaise Cécile Doo-Kingué abreuvera les festivalier de son blues/rock/ jazz/folk/soul et rythmes africains, le 2 juillet, sur la scène Bell. «Oooh Montreal, ça va chauffer sur la Scène Bell», a-t-elle confié, peu après le dévoilement de la programmation.
Rarement représenté, l’Angola sera à l’honneur avec Vivalda Dula, chanteuse, compositrice, percussionniste et danseuse qui sera sur scène, le 7 juillet. «Je suis très excitée d’être programme au Festival de Jazz. J’adore le Canada», a-t-elle indiqué sur sa page Facebook.
Le lendemain, ce sera au tour de la «ravissante et talentueuse Alicia Olatuja» de proposer sa voix somptueuse venant du Missouri.
Enfin, Betty Bonifassi proposera son projet Lomax, le 2 juillet, sur la scène TD au plus grand bonheur des nombreux amoureux de cette musique inspiré des chants d’esclaves du début du siècle.