Les joyeux lurons du groupe Afrikana Soul Sister ont distillé quelque peu leur joie de vivre contagieuse, ce 2 juillet, sur la scène monde du Festival de jazz de Montréal. Touki Montreal y était. Pas tout seul.
Dès 22 h petante, la puissante Djely Tapa a pris le contrôle des opérations. À ses côtés, ses acolytes, Jean-François Lemieux, à la production et au mix sonore ainsi que Joannie Labelle et Fa Cissokho, aux percussions.
« Le groupe soufle un air electro-house-organique où les ambiances polychromes et les racines musicales de l’Afrique trouvent un écho à la fois explosif et émotionnel », indique-t-on sur la page Facebook du groupe.
Tout au long du spectacle, il a été question de la fusion entre musique africaine, entendue malienne et traditionnelle, et l’electro moderne et occidental, notament via leur album Afrikana Soul Sister. Tapa a chanté, dansé, fait l’éloge des enfants, du Québec et du public. Ce dernier le lui a rendu.
Que vouloir de plus?