Nouvellement lancé, le Centre Azrieli pour la Musique, les Arts et la Culture (CAMAC) veut se faire une place dans le milieu culturel en soutenant des projets qui permettent d’améliorer in fine la santé et le bien-être des gens.
L’idée, explique-t-on, est d’être «un catalyseur, un bailleur de fonds clé et un partenaire stratégique dans la création d’un secteur artistique résilient, efficace et connecté, où chacun peut développer une relation plus profonde avec les arts».
Le CAMAC a été lancé par la Fondation Azrieli, une des plus grandes fondations non corporatives au pays, dont la mission est d’améliorer le quotidien des populations par le biais de l’éducation, de la recherche, notamment.
«Notre objectif est de soutenir un continuum d’engagement artistique pour tous les Canadiens, depuis l’accès à une éducation artistique de qualité jusqu’à l’appréciation des arts comme vecteurs d’amélioration de la santé et du bien-être», a fait savoir la soprano et membre du CA de la Fondation, Sharon Azrieli, lors de l’annonce au Sofitel de Montréal.
Ainsi, toutes les subventions, collaborations sectorielles et autres initiatives stratégiques de la Fondation seront maintenant réunies sous la bannière de CAMACé
Il faut savoir que la Fondation Azrieli, fidèle à l’héritage philanthropique de David J. Azrieli z”l, est derrière les Prix Azrieli de musique (PAM), créés en 2014 et décernés tous les deux ans.
«Les PAM accueillent des candidatures provenant d’organismes et d’individus de tous âges, nationalités, origines, genres et croyances religieuses, qui sont ensuite évaluées par nos jurys composés d’experts au terme d’un appel à propositions et à partitions ouvert », souligne-t-on.